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VERSAILLES CLUB D'AFFAIRES - Page 126

  • Colloque sur le thème des très petites entreprises franciliennes - Une force d’innovation et de développement

    medium_logo-idf.pngDate : le 30/01/2007
    Lieu : Hémicycle de la Région
    57 rue de Babylone
    75007 Paris
    Organisateur : le Conseil économique et social de la Région Ile-de-France
    Thème : Professionnel
    Type : Colloque

    Ce colloque s'adresse à tous les entrepreneurs de TPE franciliens et à ceux qui souhaitent transmettre ou reprendre une TPE.
    4 tables rondes animées par des entrepreneurs autour du développement et de la pérennisation des TPE.
    Entrée sur inscription préalable - Renseignements complémentaires et inscriptions sur le site :
    http://www.cesr-iledefrance.fr
  • Concours d’aide à la création d’entreprises de technologies innovantes

    medium_innovantes.jpgVous pouvez retirer votre dossier de participation depuis le 1er décembre.
    Les dossiers de participation à la 9e édition du Concours national d'aide à la création d'entreprises de technologies innovantes peuvent être téléchargés sur les sites du ministère délégué à l'Enseignement supérieur et à la recherche www.recherche.gouv.fr, de l'Agence nationale de la recherche (ANR) www.agence-nationale-recherche.fr, d'OSEO anvar www.oseo.fr et également auprès des délégations régionales à la recherche et à la technologie (DRRT) et des directions régionales d'OSEO anvar.

    Les dossiers de participation pourront être déposés jusqu'au 15 février prochain auprès des directions régionales d'OSEO anvar.
    La vocation du "concours" est de détecter, de faire émerger des projets de création d'entreprises de technologies innovantes et de récompenser les meilleurs d'entre eux grâce à un soutien financier et un accompagnement adapté.

    Les projets sont présentés dans l'une des deux catégories suivantes :
    Les projets "en émergence", qui nécessitent encore une phase de maturation et de validation technique, économique et juridique. Ils peuvent bénéficier d'une subvention d'un montant de 45 000 € maximum pour financer les prestations nécessaires à la finalisation de leur projet.
    Les projets "création-développement", dont la preuve du concept est déjà établie et dont la création d'entreprise peut être envisagée à court terme. Ils peuvent bénéficier d'une subvention d'un montant de 450 000 € maximum destinée à les aider à financer leur programme d'innovation.


    Toutes les infos sur :
    http://www.recherche.gouv.fr/technologie/concours/2007/index.htm

    Source : La lettre des experts-comptables

  • Nouveau record des créations d'entreprises : près de 234 000 créations nouvelles depuis un an !

    Selon les derniers chiffres communiqués par l’INSEE, le nombre de créations d'entreprises nouvelles au cours des douze derniers mois atteint 233 785 à la fin novembre 2006. Il s'agit d'une hausse de 4,5 % par rapport aux valeurs constatées à fin novembre 2005, et de plus de 33 % par rapport au mois de mai 2002, quand ce chiffre n'atteignait que 175 000 créations annuelles. Renaud Dutreil, ministre des PME, du Commerce, de l’Artisanat et des Professions libérales, constate que la politique menée par le gouvernement depuis cette date pour réhabiliter l'entrepreneur et favoriser la création d'entreprise continue de porter ses fruits.


    http://www.pme.gouv.fr

    Source : Communiqué de presse du ministère des PME – 18/12/2006

  • Le synchrotron Soleil voit le jour à deux pas de Versailles

    medium_synchrotron.jpg"CELA faisait un moment que l'on n'entendait plus parler de Soleil. L'entrée en scène, à la fin 2002, des engins de chantier sur le site de l'Orme des Merisiers, à Saint-Aubin (Essonne), avait fini par faire oublier les violentes polémiques suscitées par ce bel anneau de béton de 364 mètres de circonférence, que le président de la République, Jacques Chirac, a inauguré ce matin.

    Pourtant, c'est peu dire que ce grand instrument, destiné à sonder la matière grâce à la lumière ultrabrillante - le fameux rayonnement synchrotron - émise par des électrons lancés à la vitesse de la lumière (voir article ci-dessous), a bien failli ne jamais voir le jour.

    Le 2 août 1999, alors que 70 millions de francs (un peu plus de 10 millions d'euros) avaient déjà été consacrés au projet, en gestation depuis neuf ans, Claude Allègre décida brusquement de tout arrêter. Par souci d'économie, le futur synchrotron ne devait plus être franco-français mais franco-britannique, sous la forme d'une prise de participation minoritaire dans le projet Diamond, implanté à Oxford en Angleterre. Exit Soleil... Le bouillant ministre socialiste de la Recherche avait aussitôt provoqué un tollé dans la communauté scientifique et s'était mis à dos plusieurs de ses amis politiques, comme le président de la région Ile-de-France, Jean-Paul Huchon, prêt à casser sa tirelire pour héberger Soleil chez lui.

    Il faudra attendre avril 2000 pour que Roger-Gérard Schwartzenberg, à peine installé dans le fauteuil de Claude Allègre, rouvre le dossier écarté par son prédécesseur. « Du fait de la très forte demande d'accès, le projet franco-britannique Diamond risque de ne pas suffire », expliquait-t-il en reprenant les conclusions d'un rapport parlementaire publié quelques semaines plus tôt. De fait, l'ESRF, le synchrotron européen de Grenoble, est déjà saturé, le Lure d'Orsay - que Soleil doit remplacer - est en fin de vie, et même en disposant d'un accès privilégié à Diamond, les scientifiques français devront louer du « temps de faisceau » dans les autres synchrotrons européens (Allemagne, Italie, Suède, Suisse), sans être sûr d'en obtenir...

    De nombreuses applications


    Car en l'espace d'une décennie, les besoins n'ont cessé de croître pour des applications sans cesse plus nombreuses. D'abord utilisée par les physiciens, la lumière synchrotron est de plus en plus prisée par les chimistes et surtout les biologistes dans des domaines variés qui vont de la médecine, à la science des matériaux en passant par la géophysique, la lithographie, l'électronique, et même l'archéologie. Certains cancérologues ont, par exemple, recours aux infrarouges pour effectuer des diagnostics très précoces en vérifiant si l'ADN prélevé sur les cellules de leurs patients est sain ou non.

    Restait pour M. Schwartzenberg à affronter la bataille qui fit rage entre les dix régions candidates. Le 11 septembre 2000, le choix s'est finalement porté sur l'Île-de-France, dont les collectivités territoriales - Région et département de l'Essonne - financent plus de 70 % du coût total de l'opération estimé à 280 millions d'euros. En outre, c'est elle qui concentre les chercheurs les mieux qualifiés pour mener le projet à bien.

    Le résultat est à la hauteur des espérances. La machine d'une puissance de 2,75 gigaélectrons-volts, accueillera d'ici à 2009, un total de 24 lignes de lumières disposées tout autour de l'anneau de stockage où les scientifiques pourront mener leurs expérimentations. Mais il y a la place pour en installer 19 de plus, par la suite, si les financements suivent. La palette de lumière disponible va de l'infrarouge lointain (300 micromètres de longueur d'onde) aux rayons X « durs » (0,03 milliardième de mètre), offrant une gamme d'utilisation étendue.

    Le démarrage retardé


    « Soleil ne risque pas d'être sous-utilisé, se réjouit Denis Raoux, le directeur général de la société de droit privé Synchrotron Soleil, détenue à hauteur de 72 % par le CNRS et 28 % par le CEA. Avant même de démarrer, nous sommes déjà en surréservation de plus du double par rapport au temps de faisceau disponible ! »

    Fait notable : si la demande émane surtout de chercheurs académiques (aux trois quarts français) pour qui l'accès est gratuit sous réserve qu'ils publient leurs résultats in extenso, de plus en plus d'industriels font appel au synchrotron. À terme, il est prévu de leur dédier, moyennant rétribution, 2 à 3 lignes de lumières de Soleil pour une utilisation de 10 % du temps de faisceau (4 % actuellement à Grenoble).

    Seule ombre au tableau, le début des expérimentations, initialement prévu en janvier, sera retardé de six à huit semaines suite à des « malfaçons » repérées cet automne sur l'un des circuits de refroidissement des accélérateurs. Mais selon Denis Raoux, « cette péripétie, inévitable dans ce genre de réalisation, ne remet pas en cause la qualité de l'instrument : l'anneau fonctionne à pleine puissance depuis septembre et le faisceau d'électrons est d'une stabilité remarquable »."

    Source : Le Figaro

  • Choisir un statut juridique : L'entreprise individuelle

    medium_statut.gifRégulièrement nous reviendrons sur le choix de son statut juridique lorsque l'on est créateur d'entreprise.

    Le premier volet concerne l'entreprise individuelle.

    L'entreprise et l'entrepreneur ne forment qu’une seule et même personne. Il en résulte :

    - Une grande liberté d'action : l'entrepreneur est le seul maître à bord et n’a de comptes à rendre à personne. La notion d’ « abus de bien social » n’existe pas dans l’entreprise individuelle.

    - En contrepartie, les patrimoines professionnel et personnel sont juridiquement confondus. L'entrepreneur est responsable des dettes de l’entreprise sur l’ensemble de ses biens y compris ceux qu’il a acquis avec son conjoint, s’il est marié sous le régime légal de la communauté réduite aux acquêts.
    Il est toutefois désormais possible d'isoler son habitation principale des poursuites des créanciers en procédant à une déclaration d'insaisissabilité devant notaire, publiée au bureau des hypothèques et selon les cas, au Registre du Commerce et des Sociétés, au Répertoire des Métiers ou dans un journal d'annonces légales.

    - L'entreprise porte officiellement le patronyme de son dirigeant, auquel il est possible d'adjoindre un nom commercial,

    - Les bénéfices de l'entreprise seront portés dans la déclaration des revenus de l'entrepreneur, dans la catégorie correspondant à son activité : Bénéfices industriels et commerciaux (BIC) ou Bénéfices non commerciaux (BNC).

    - Les formalités de création de l'entreprise sont réduites au minimum. Il suffit de demander son immatriculation, en tant que personne physique, auprès du centre de formalités des entreprises situé à la Chambre de commerce et d'industrie pour les commerçants, à la Chambre de métiers et de l'artisanat pour les artisans, au Greffe du tribunal de commerce pour les agents commerciaux et à l'URSSAF pour les professions libérales.

    Source : APCE

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