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VERSAILLES CLUB D'AFFAIRES - Page 97

  • « L'auto-entrepreneur, le jeu »

    « L'auto-entrepreneur, le jeu »

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  • Réforme de la taxe professionnelle : quels changements pour les entreprises ?

    Réforme de la taxe professionnelle : quels changements pour les entreprises ?

    Depuis le 1er janvier 2010, la taxe professionnelle (TP) est définitivement supprimée pour toutes les entreprises. Cette réforme "marque une étape nouvelle et déterminante dans la politique de soutien à l’investissement et à l’emploi", estime Christine Lagarde. Explications.

    publié le 03/02/2010

    Note de la rédaction : il s'agit ci-dessous du résumé d'un communiqué de presse du ministère de l'économie ; alors que le débat parlementaire reste vif à ce sujet, les informations et assertions qu'il contient n'engagent donc que le gouvernement et non CyberBTP.

    Qu’était la taxe professionnelle, avant la réforme ?

     

    Jusqu’en 2009, l’assiette de la taxe professionnelle comprenait :

    • les terrains, les bâtiments et les aménagements faisant corps avec eux ;
    • les équipements mobiliers, tels que les machines, les outils, le matériel de transport ainsi que le matériel et le mobilier de bureau.
    La taxe professionnelle représentait la principale contribution des entreprises aux collectivités territoriales. Elle servait à financer le budget des communes, des départements et des régions. Une taxe additionnelle était également prélevée pour financer les chambres de commerce et d’industrie et les chambres des métiers et de l’artisanat. L’Etat était devenu le principal contribuable de la taxe professionnelle en raison des allégements et des exonérations qu’il prenait à sa charge, sous la forme de compensations.

     

    Quel est l’objectif poursuivi par la réforme ?

    Impôt unique en son genre au sein de l’Union européenne, la taxe professionnelle avait la particularité de peser essentiellement sur les investissements productifs qui représentaient 80% de son assiette, contre 17% pour les valeurs locatives foncières et 3% pour les recettes. Ainsi, plus une entreprise investissait en France, plus elle était taxée, alors même que ses investissements n’étaient pas rentables.

    Sa suppression permettra de relancer l’investissement, de renouer avec des créations d’emplois plus dynamiques et de restaurer l’attractivité de nos territoires. Concrètement, le coût des investissements sera réduit d’environ 20%. Ainsi, la réforme se traduira par un allégement net de la charge pesant sur l’investissement mais aussi sur le travail et aura aussi un effet positif sur l’emploi et sur la rémunération des salariés.

    La réforme assurera une affectation de ressources fiscales dynamiques et pérennes aux collectivités territoriales. L’objectif de la suppression de la taxe professionnelle n’est pas de choisir entre l’investissement public des collectivités et l’investissement privé des entreprises, mais de mettre fin à un système qui aboutissait à financer l’un au détriment de l’autre.

    Quelles sont les principales caractéristiques de la réforme pour les entreprises ?

    La suppression de la taxe professionnelle sur les investissements productifs est effective depuis le 1er janvier 2010. Elle porte sur le flux des nouveaux investissements comme sur le stock des investissements existants. Les autres composantes de la TP - bases foncières et valeur ajoutée - sont maintenues et intégrées à un nouvel impôt : la contribution économique territoriale (CET).

    La CET est composée :

    • d’une cotisation foncière des entreprises (CFE) assise sur les valeurs locatives foncières, dont le taux est déterminé par les communes ou EPCI ;
    • d’une cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) prélevée selon un barème progressif et qui se substitue à l’actuelle cotisation minimale de taxe professionnelle assise sur la valeur ajoutée.
    La CVAE n’est applicable qu’aux entreprises dont le chiffre d’affaires excède 500.000€. Son taux, fixé au niveau national, progresse de 0% en dessous de 500.000€ de chiffre d’affaires annuel à 1,4% à partir de 10 millions € et jusqu’à 1,5% au-delà de 50 millions €. Le montant dû ne peut toutefois être inférieur à 250€.

     

    Par ailleurs, pour le calcul de la CFE, les bases foncières des établissements industriels sont réduites de 30%. Corrélativement, la définition fiscale de la valeur ajoutée est rénovée et les obligations déclaratives des entreprises sont simplifiées.

    Quels sont les aménagements spécifiques prévus pour limiter la charge des entreprises ?

     

    Pour garantir la baisse de la charge fiscale pesant sur les entreprises les plus imposées, le plafond des cotisations de CET en fonction de la valeur ajoutée est abaissé de 3,5% à 3%.

    Par ailleurs, plusieurs aménagements spécifiques sont prévus en faveur des PME et de certaines entreprises susceptibles d’être pénalisées par l’assiette valeur ajoutée :

    • les petites entreprises dont le chiffre d’affaires ne dépasse pas 2 millions € bénéficient d’une réduction de CVAE de 1.000€/an (non imputable sur la cotisation minimale de 250€) ;
    • pour limiter la charge fiscale pesant sur les entreprises les plus intensives en main d’oeuvre, la valeur ajoutée imposable à la CVAE est plafonnée à 80% du chiffre d’affaires pour les PME (CA < 7,6 millions €) et à 85% du chiffre d’affaires pour les entreprises moyennes ou grandes ;
    • enfin, un écrêtement est mis en place pour garantir qu’aucune entreprise ne puisse voir sa cotisation augmenter de plus de 10% et de 500€ en 2010 ; cet écrêtement, dégressif, produira ses effets jusqu’en 2013.
    A qui bénéficiera cette réforme ?

     

    Cette réforme bénéficiera à l’ensemble des secteurs d’activité (industrie, services, transports, commerce, BTP, professions libérales...) et des entreprises qui produisent en France, quelle que soit leur taille (grandes entreprises ou PME). La suppression de la TP sur les investissements productifs sera également un moyen de lutter contre les délocalisations.

    Quel sera le gain pour 2010 et les années suivantes ?

    En 2010, la suppression de la taxe professionnelle allège la charge fiscale des entreprises de 12,3 milliards €, en raison d’effets de décalage dans le temps liés à la transition vers le nouveau système : les entreprises bénéficieront notamment en 2010 du remboursement du plafonnement en fonction de la valeur ajoutée afférent à la taxe professionnelle de l’année 2009. En régime de croisière, l’allègement représentera 6,3 milliards €/an (4,8 milliards € nets d’IS).

    En savoir plus...
    Un simulateur sera mis à disposition en février 2010 sur le site Internet www.economie.gouv.fr afin de permettre aux entrepreneurs d’évaluer l’impact de la réforme sur leur entreprise.

    Source : http://www.cyberbtp.com/dossier/fiscal-social/index.php?dossier=323&article=13190

  • Versailles Grand Parc au salon des entrepreneurs 2010

    Du 3 au 4 février, Versailles Grand Parc participe à la 17ème édition du salon des entrepreneurs au palais des congrès de Paris.

    Le salon des Entrepreneurs est le rendez-vous annuel de 400 partenaires et exposants afin d’accompagner vos projets et d’assurer le développement de votre entreprise. Les 180 conférences et ateliers offrent des outils de formation et d’information adéquats, tandis que les espaces de consultations d’experts apportent des réponses concrètes à toutes les questions. Plusieurs nouveautés en 2010, un forum pour les auto-entrepreneurs et un espace consacré aux jeunes de 18 à 30 ans qui veulent entreprendre.

    Versailles Grand Parc vous y accueillera sur le stand 238, en partenariat avec le Conseil général des Yvelines et aux côtés de la CCI des Yvelines, pour vous guider et vous accompagner dans votre projet.

     

     

    EN SAVOIR PLUS...

    DATES

    > Mercredi 3
    > Jeudi 4 février

    HORAIRES

    > Mercredi 9h-20h
    > Jeudi 9h-19h

    LIEU Palais des Congrès
    2, place de la Porte Maillot
    75017 Paris

     

     

     



    Toutes les actualités
  • Message de Christine Lagarde - Taxe Professionnelle

    Si vous avez des difficultés pour visualiser ce message, cliquez ici

    Actualités Ministère Directions PressE Publications Formulaires Métiers
    Ministère de l'économie de l'industrie et des finances
    Ministère de l'économie de l'industrie et des finances
    Ministère de l'économie de l'industrie et des finances Paris, le 28 janvier 2010 Ministère de l'économie de l'industrie et des finances
    Ministère de l'économie de l'industrie et des finances Madame, Monsieur,

    Conformément à l’engagement pris par le Président de la République en février 2009, la loi de finances
    pour 2010 a supprimé la taxe professionnelle pour toutes les entreprises.

    Cette réforme est l’une des plus importantes qui aient jamais été engagées en faveur de ceux qui,
    comme vous, produisent, embauchent et investissent sur notre territoire. Elle marque une étape nouvelle
    et déterminante dans la politique de soutien à l’investissement et à l’emploi constamment poursuivie
    par le Gouvernement depuis 2007, et s’inscrit à ce titre en cohérence avec le triplement du crédit d’impôt
    recherche, l’exonération des heures supplémentaires, le plan de relance de l’économie ou encore
    les priorités du grand emprunt.

    Le texte adopté par le Parlement respecte l’équilibre trouvé à l’issue de la concertation que j’ai menée
    en 2009 avec vos représentants et avec les représentants des élus locaux :
    - la taxation des investissements productifs est définitivement supprimée dès le 1er janvier 2010,
    tant pour les nouveaux investissements que pour le stock des investissements passés ;
    - les entreprises concourent désormais au financement des collectivités par le biais d’une contribution
    économique territoriale (CET), composée d’une part foncière et d’une part assise sur leur valeur ajoutée ;
    - le taux de la cotisation sur la valeur ajoutée est déterminé selon un barème progressif fixé au niveau
    national, qui favorise les PME ;
    - les communes sur le territoire desquelles est implantée votre entreprise continueront à voter les taux
    de la cotisation foncière, mais ceux-ci ne pourront plus, désormais, évoluer plus vite que ceux des impôts
    payés par les ménages.

    Au total, la charge fiscale pesant sur les entreprises établies en France sera réduite de 6,3 Md€,
    soit un allégement d’impôt de plus de 5 700 €/an en moyenne pour chacune des quelque
    1 100 000 entreprises concernées par la suppression de l’imposition des investissements productifs.
    En 2010, cet allégement sera encore plus important (12,3 Md€), ce qui permettra d’accompagner
    la reprise de notre économie.

    Concrètement, le coût des investissements productifs que vous déciderez sera ainsi réduit,
    pour un investissement sur 10 ans, de plus de 20%.

    J’ai veillé à ce que toutes les catégories d’entreprises, petites ou grandes, et tous les secteurs d’activité,
    y compris le commerce et les services, soient en moyenne gagnants à cette réforme.
    Je me suis aussi attachée à ce que les PME, qui sont à l’origine de l’essentiel des créations d’emplois,
    en soient les principales bénéficiaires.
    Un simulateur sera mis à votre disposition début février sur le site Internet economie.gouv.fr,
    afin de vous permettre d’évaluer l’impact de la réforme sur votre entreprise.

    En définitive, mon ambition est d’offrir à chacun d’entre vous un cadre fiscal plus favorable et plus compétitif
    pour vous aider à investir davantage, à embaucher, à développer vos activités sur le territoire français
    et à conquérir de nouveaux marchés.
    Je suis convaincue que la suppression de la taxe professionnelle y contribuera, et aidera notre pays
    à relever le défi de la croissance et de la compétition internationale.

    Souhaitant que l’année 2010 soit plus que jamais placée sous le signe du goût d’innover et d’entreprendre,
    je vous prie de croire, Madame, Monsieur, à l’assurance de ma considération distinguée.

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  • Yvelines Actives : une garantie bancaire pour les créateurs d’entreprise sans emploi

    Yvelines Actives : une garantie bancaire pour les créateurs d’entreprise sans emploi

    Publié le : 25-01-2010

    Emploi

    Lancement d'Yvelines Actives

    L’association Yvelines Actives propose d’apporter une garantie aux créateurs d’entreprise sans emploi en partenariat avec des banques. Elle a été créée sous l’impulsion du Conseil général des Yvelines.

    « Favoriser les initiatives créatrices d’emploi en faveur des personnes en situation de précarité ».
    C’est la vocation de l’association Yvelines Actives, lancée en avril 2009 par le Conseil général des Yvelines dans le cadre de son plan départemental d’insertion. L’insertion par l’activité économique est une priorité du Département et l’action d’Yvelines Actives y contribue en proposant aux banques une garantie destinée à sécuriser les prêts en faveur des porteurs de projets qui ne peuvent obtenir de crédits bancaires en raison de leur situation personnelle. Après neuf mois de mise en place, la nouvelle structure départementale est opérationnelle et elle a commencé à traiter ses premiers dossiers. Fondée par France Active, le Conseil général des Yvelines et la Caisse des Dépôts et Consignations, Yvelines Actives intervient pour :

    • Faciliter l’accès au crédit bancaire pour tout porteur de projet souhaitant entreprendre ou créer au moins son propre emploi, quelque soit le secteur d’activité.
    • Soutenir financièrement les projets de création, de développement et de consolidation d’emploi s’inscrivant dans le champ de l’économie solidaire.

     

    Yvelines Actives : structure et moyens

    Présidée par Denis Painchault, Yvelines Actives est administrée par un conseil d’administration de 16 membres bénévoles issus des chambres consulaires, banques, fondations et opérateurs reconnus pour leurs compétences dans la création d’entreprises et dans le secteur de l’économie solidaire.
    Les dossiers de financement sont examinés par un comité des engagements constitué d’experts économiques et financiers. Il s’est réuni à cinq reprises depuis avril 2009 pour examiner les premiers dossiers.
    Deux salariés permanents sont chargés d’animer la structure au quotidien. Yvelines Actives dispose d’un fonds de garantie, financé à 25% par le Département, qui a versé dès le départ 150 000 euros, 25% par la Région et 50% par la Caisse des Dépôts et Consignations et d’autres fonds spécifiques d’Etat par délégation. La moyenne des garanties est estimée à 18 000 euros et le plafond s’élève à 45 000 euros.

    Yvelines Actives réunit :
    Les partenaires techniques :
    Chambre de Commerce et d’Industrie de Versailles, Chambre des Métiers et de l’Artisanat, Boutique de Gestion Athéna, association FIDEL, Salveterra et Suzanne Michaux.
    Les partenaires bancaires :
    Banque Populaire, Caisse d’Epargne, Crédit Coopératif, Crédit Mutuel, LCL, la Fédération Bancaire Française des Yvelines.
    Les partenaires institutionnels et financiers :
    Conseil général des Yvelines, Région Ile-de-France, Caisse des Dépôts et Consignations, Etat et France Active.

     

    Sur la photo, de gauche à droite : Cécile Simon, Directrice d'Yvelines Active, Patrick François, Directeur inter-régional de la Caisse des Dépots et de Consignations, Christian Sauter, Président de l'association France Active, Alain Schmitz, Président du Conseil général des Yvelines et Denis Painchault, Président d'Yvelines Actives.

     

    Source : http://www.media-yvelines.com/site/actu-presse-lire/items/yvelines-actives-une-garantie-bancaire-pour-les-createurs-dentreprise-sans-emploi.html

  • L'apprentissage a la cote dans les PME

    L'apprentissage a la cote dans les PME

    [ 08/01/10  ]

    Si l'image de l'apprentissage s'améliore peu à peu chez les jeunes (notamment chez les étudiants du supérieur), elle progresse également auprès des patrons de PME. Selon un sondage Ipsos réalisé en novembre par la Fondation d'Auteuil (1), 78 % d'entre eux estiment que l'apprentissage un bon moyen de lutter contre le chômage - ils n'étaient que 69 % un an plus tôt. Les dirigeants de petite structure apprécient notamment les « valeurs » véhiculées par ce mode de formation : sens du concret, solidarité, découverte de l'entreprise… Un bémol, toutefois : alors qu'ils se jugent plutôt bien informés sur les dispositifs d'aide de l'Etat visant à favoriser l'apprentissage dans les PME, seuls 40 % des dirigeants interrogés trouvent ces mesures efficaces pour les petites structures. Et 76 % d'entre eux estiment que les mesures d'incitation n'auront que peu ou pas d'impact sur leur recrutement. Enfin, alors que 52 % de ces responsables considèrent le versement de leur taxe d'apprentissage comme une forme de mécénat d'entreprise, nombre d'entre eux déplorent une certaine opacité dans le fonctionnement de cette taxe et son utilisation.

    J.-C. L., Les Echos

    Source : http://www.lesechos.fr/info/france/020300986647-l-apprentissage-a-la-cote-dans-les-pme.htm

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